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RADIOS

FRANCE CULTURE

"Pas la peine de crier" / Marie Richeux

12/ 07 / 2012

Tout est blanc, donc salissant. Le banquet est dressé et le vin va couler à flot. C’est moi, ou le vin a un goût de sang ? Bas les masques ! Il n’est pas d’animaux qui tiennent. Les tabous dont il va être question, le théâtre violent, sagement violent, qui va se jouer sous nos yeux, est un théâtre d’humains. C'est notre analyse.

Le roi est roi. Sa fille est belle. Sa femme est belle mais sa femme va mourir, et saoule, elle lui fait promettre de n’épouser après elle que la plus belle des plus belle femmes. 
Et au-dessus de la tête de la fille, les nuages s’assombrissent. La robe s’écorche, à l’endroit du décolleté. Si c’est elle ce sera elle contre la peau de l’âne d’or. Rien d’autre. 
Le conte de Perrault prend du gras, s’habille de sang. La version 2012, ne laisse pas tant la jeune femme échapper à son père. Est-ce que les contes de fées s’obscurcissent à mesure qu’on les comprend ?

RADIO CAMPUS

"Pièces détachées"

16 / 12 / 2013

Les contes de fées ne sont pas toujours ce qu’ils paraissent…

 

Lundi 16 décembre, nous avons reçu Chloé Duong, qui écrit et met en scène une adaptation intrigante de Peau d’Âne de Charles Perreault, un spectacle présenté par la Compagnie MaëlströM à La Loge jusqu’au 20 décembre.

 

ARTICLES

LE SOUFFLEUR

Décembre 2013

Par Sonia Gavory

"Peau d’âne [la chasse] montre la tension incestueuse entre le père et la fille plutôt que de s’en tenir à l’allusion comme dans le conte, mais conserve un cadre décalé, légèrement féerique, afin de permettre une prise de distance par rapport à cette relation. [...] La justesse du jeu des comédiens permet de conserver un plan réaliste dans lequel viennent s’incorporer subtilement des détails qui soulèvent l’arrière-plan orgiaque et incestueux. "

RHINOCEROS

13 / 12 /2013

Par Gwendoline Soublin

 

 

" Remisée au placard, les couleurs des robes de Peau d’âne s’éclipsent ici à la faveur d’une adaptation teintée de sang et de sens. En choisissant de ne s’attarder que sur l’introduction du conte de Charles Perrault (avant la fuite de la princesse), la dramaturgie privilégie  une approche originelle du mal : d’où vient cet inceste qui pousse à l’intérieur du cœur du roi et le rend père abuseur ? Mis en valeur dans une belle scénographie intelligente et visuelle, les comédiens déploient des qualités de jeu remarquables et le malaise ambiant poursuit bien longtemps après la fin du spectacle…"

ARTICLE EN LIGNE

FROGGY'S DELIGHT

Juillet 2012

Par MM

"Le choix de Chloé Duong s'est porté sur Peau d'Ane, compte syncrétique de Charles Perrault, dont le thème central et celui de l'inceste, dont elle livre une libre adaptation époustouflante, bien éloigné de la version cinématographique Waltdisneyrisée ou psychédélique de Jacques Demy. "

 

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